Allemagne, 2024. La Lindwurm Universität, une académie nouvellement inaugurée, ouvre ses portes à des étudiants hors du commun. Si vous y trouverez des humains tout à fait normaux, vous y apercevrez également des... dragons. en savoir plus
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Printemps | les contes s'oublient (rp)Inscription | 100 points offerts à la création d'un humain.
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Recherches
Pré-lien | Mnyama et Jun cherchent leur père.Pré-lien | Jaehyun veut partager son logement avec un.e colocataire.Partenaire RP | intitulé de la recherche iciRP libre | intitulé de la recherche ici
Qualités : Calme, Observateur, Loyal, Travailleur, Aventurier Défauts : Irritable, Dépensier, Mal à l’aise en groupe, Accro au tabac
J’ai appris à être calme avec le temps. J’ai compris que ça ne servait à rien de s’énerver pour de petites choses. Les plusieurs années de persévérances m’ont permis d’être rigoureux dans mon travail. Mais lorsque que la tâche n’est pas faite correctement, il m’arrive de m’énerver. Si vous voyez une veine pulser sur ma tempe, ne venez pas me taquiner, s’il vous plaît. Je pourrais vous envoyer balader, surtout si je suis à ma cinquième cigarette pour me calmer. A ces moments, je suis très loin d’être disponible pour écouter vos remarques. Il peut m’arriver, de temps à autres, d’avoir une sorte de soudaine pulsion d’acheter bien des bêtises inutiles. J’ai essayé de me contenir, en dépensant dans les voyages. Mais ce n’est pas suffisant pour le moment… D’ailleurs, parlant voyages, mon observation est devenue un peu plus fine. J’ai constamment besoin de bouger, découvrir de nouvelles choses, apprécier les paysages, explorer des grottes, faire des plongées sous-marines… Et puisque j’étais très souvent seul, j’ai fini par prendre cette habitude. Je tente de m’habituer à la foule, aux grands groupes. Je préfère tout de même être seul, ou être avec une seule personne.
Désir profond : Avoir une vie tranquille Succès : Voyager Espoir : Une vie paisible entre les humains et les dragons Peur : Voir une autre guerre éclater
Habitudes quotidiennes : Aime se lever très tôt quelques soient le temps, et tard pour faire le plus de choses dans une journée Habitudes alimentaires : Ne fume jamais avant un bon repas fait-maison pour ne pas gâcher le goût des mets Plat et boisson préférés : Plat du Mozambique Piri-piri chicken, Cocktail Blue Lagoon, dessert moelleux au chocolat et rhum Ce qu’il aime dans la vie de tous les jours : Les animaux, la nourriture saine, les livres, la nature, la propreté. Ce qu’il déteste dans la vie de tous les jours : L'impolitesse, demander de l'aide, se mettre en avant. Maîtrise de la technologie : Bien obligé dans la société d’aujourd’hui
Physique
Forme humaine Taille et poids : 1,91m pour 72kg Carnation : Olive Cheveux : Noir Yeux : Gris Vêtements : Plutôt style décontracté et soigné à la fois, je fais attention à mon apparence pour avoir le respect dès la première impression. Il faut que je donne un bon exemple également puisque je suis enseignant. Accessoires : Un bracelet aux perles noires sur le poignet gauche, cadeau de ma petite sœur, et une montre de temps à autre. Coiffure : Tente d’avoir des cheveux propres, cheveux soyeux qui partent dans tous les sens le matin, mais facilement domptable avec du gel. Tatouages / piercings : Tatouage sur le biceps droit d’un cœur avec une banderole avec l’inscription « Your Name » dedans, bêtise de jeunesse après une soirée beaucoup trop arrosée. Tatouage non effacé pour se rappeler de ne pas réitérer l’expérience. Présence d’une discrète cicatrice à la lèvre inférieure, même bêtise de jeunesse. Maquillage : Pas de maquillage en temps normal (je peux en porter pour les rares occasions importantes pour cacher mes valises sous les yeux).
Forme relâchée Je n’aime pas particulièrement cette forme, car elle me vieilli grandement, à cause du bout de mes mèches qui prennent une teinte grisâtre. Ma sclérotique devient noire, donnant l’impression que mes iris sont quasiment blanches. Ma forme draconique n’a pas de cornes, mais le bout de mes doigts prend une légère couleur rouge.
Forme draconique Je suis du type amphiptère, c’est-à-dire que je n’ai pas de pattes. J’ai la peau lisse comme celle des anguilles, marron claire. Ma tête allongée peut faire penser à celle d’un lézard, aux traits moins fermes. Les plusieurs rangés de fines dents acérées me permettent d’arracher la chair plus facilement. Ma crinière le long de ma nique vire au gris. L’intérieur de mes ailes est un dégradé de couleurs chaudes, du jaune au rouge. C’est le même pattern sur le bout de ma queue. Je fais approximativement 2,50 mètres de long, de la tête à l’extrémité de ma queue. Et 4 mètres de largeur, avec les ailes. J’ai pris l’habitude de monter dans les arbres pour me transformer avant de prendre l’envol, manœuvre plus difficile si je commence sur la terre ferme. Je ne sais pas nager sous cette forme, j’évite donc les points d’eau trop profond.
Histoire
« Maman ! Pourquoi ? » Je sais que je nais le 15 septembre 1670 à El Pan, une petite ville dans la province d’Azuay, en Equateur. J’étais un enfant très curieux, qui ne sut taire ses questions. Toujours dehors à questionner le monde, les gens, la nature. Je ne pus tenir en place, comme bien la majorité des enfants, assoiffés de connaître leur environnement. Je tentais d’aider ma mère dans les potagers, mon manque de dextérité ne m’empêchait en rien.
« Suis-je en train de me transformer en créature qui mangent tout le monde ?! » A 9 ans, je commençais à voir que je ne ressemblais pas à ma mère, ni ma petite sœur. J’avais des écailles de lézard qui apparaissaient de temps à autre, généralement quand je faisais une crise de colère. Des cornes perçaient douloureusement mon front. J’avais peur de devenir l’une des créatures meurtrières des histoires racontés aux enfants. Il m’arrivait de voir le temps s’arrêter une fraction de seconde. Ou bien des choses étranges se manifester, des formes étranges qu’on ne pouvait toucher. J’avais l’impression d’avoir des hallucinations. Je n’avais aucune idée sur la raison de ma transformation, ainsi que la naissance de mes pouvoirs. Je pleurais beaucoup, surtout après mes crises qui provoquaient des transformations. Ma mère ne comprenait pas, elle essayait vainement de me rassurer tandis que je me convainquis de me transformer peu à peu en un véritable monstre à chaque crise.
« Je serai le super grand-frère ! Je te protégerai ! » J’avais 10 ans, quand ma mère arriva avec ce petit bébé tout fragile. Ma mère la trouva alors qu’elle rentrait du travail, près d’une poubelle. Une petite brune qui peinait à pleurer, maigre à la peau si blanche, était pourtant si mignonne. Ma mère la nomma Etiny. Elle la nourrit au sein, je m’occupais d’elle lors de l’absence de notre mère. Je lui racontais pleins d’histoires. Et je manipulais mieux mon pouvoir d’illusions au fur à mesure des années, juste pour impressionner ma petite sœur Etiny. Elle était ma source d’inspiration, d’encouragement. On grandit, plus soudé que jamais.
« Tu n’es qu’une fieffée menteuse… » Je me renfermai, blessé. Ma mère n’était pas ma mère. Elle était ma tante. Ma mère était sa jumelle, décédée lors de ma naissance. Je l’appris par une voisine. Cette tante n’avait pas vu d’autres solutions que de m’élever, jusqu’à trouver le jour pour m’avouer la vérité. Brisé, je me sentis trahis. Je travaillais donc beaucoup pour ne pas à penser à ce mensonge qui avait duré une grande partie de ma vie. J’emmenais ma petite sœur, Etiny, avec moi. Quelle douleur pour moi de la voir appeler cette tante par « Maman » alors qu’elle l’avait trouvé, abandonné près de déchets…
« Je suis désolé… Etiny… Je suis sincèrement désolé… » Un événement tragique me bouleversa à jamais, et me rapprocha de ma mère adoptive. Etiny, atteinte d’une maladie incurable à l’époque, décédait non loin de son douzième anniversaire. Elle était ma petite étoile, une petite boule de joie qui adorait m’étreindre, surtout parce qu’elle avait froid, toujours souriante même lors de ses crises violentes d’hypothermie. Elle ne se plaignait pas. Elle ne semblait même pas voir la différence entre elle et les autres enfants de son âge. Comme pris d’une folie, pendant plusieurs semaines, je semblais entendre son rire, j’avais l’impression de sentir une présence contre moi. Les remords se formèrent alors progressivement dans mon esprit. Si seulement j’avais eu suffisamment d’argent pour l’amener vers un médecin, je pouvais l’amener dans un pays où l’été est présent toute l’année. C’est au 21ème siècle que j’apprends le nom de la maladie de ma sœur, en tombant par hasard sur un article qui en parlait. Etiny était atteinte d’une forme rare d’hypothermie périodique spontanée. Au 17ème siècle, il aurait été impossible de la soigner, la médecine n’était pas suffisamment avancée pour pouvoir étudier son cas et y apporter un traitement adapté.
« Nous sommes donc… similaire ? » Je pensais être à l’abris des regards, en cette froide nuit noire du mois de novembre. Je m’entraînais régulièrement pour essayer de contrôler mes pouvoirs, et ma forme de dragon. Je fus surpris de rencontrer un semblable. Un homme qui avait bien apparemment bien plus d’expériences de vie, tandis que son apparence ne semblait pas le montrer. Il avait, en effet, plusieurs centaines d’années, malgré sa carrure ressemblant à un homme d’une trentaine d’années, j’avais seulement une cinquantaine d’années. Il se présenta : Zortigo, dragon solitaire. Je n’eus pas plus d’informations. Il m’affirma que je n’avais pas besoin d’en savoir plus sur lui de toute manière. Je devais simplement éviter de lui poser trop de questions. Il m’apprit alors à mieux contrôler mes différentes nouvelles formes, à voler. Il m’aida également à analyser mes pouvoirs afin de mieux les manipuler. Zortigo joua un grand rôle important dans ma vie, m’aidant à m’améliorer, et également à accepter ma différence.
« Au revoir… Mère… Adieu. » Je ne le remarquais que trop tard. Ma mère adoptive faiblissait d’année en année. Je tentais de rester près d’elle lors de ses derniers mois de vie. Je me sentais coupable de ne pas avoir passé suffisamment de temps avec elle. Mais elle me pardonna. Elle comprenait mes émotions. Je souhaitais qu’elle se repose enfin en paix, rejoindre la petite Etiny dans les cieux. Cette déchirure était très douloureuse pour moi. D’autant plus que je souhaitais que ma mère adoptive puisse me voir grandir encore et encore… Mais je comprenais que trop tard que je faisais partie d’une espèce qui a une espérance de vie bien plus importante que celle des humains…
« Quelle ville sera donc choisie pour mon prochain voyage ? » Jeune nomade, je voyageais de villes en villes, assez à l’aise grâce aux années passées avec Zortigo jusqu’à ma majorité (en 1850), et quelques décennies de plus. Je visitais les lieux, je tentais de comprendre les cultures, je flirtais aussi avec les humains, ces fragiles créatures. J’eus plusieurs et très courtes aventures. Je compris à ce moment que je ne faisais pas vraiment de distinction. Femme, trans, homme, je me moquais intégralement du genre. Lorsque la personne me plaisait, que l’attraction était réciproque, on s’amusait une, deux, quatre nuits, avant de se quitter. Je ne remettais en général pas les pieds dans la contrée avant une bonne cinquantaine d’années. Je voyais les cultures, les traditions, les technologies, changer avec le temps.
« Learning English will help me in my great future. » La colonisation ne fut pas la meilleure idée de l’humain, de mon point de vue personnel. Est-ce étique d’éradiquer l’hôte pour prendre sa place ? C’est du vol, un crime. Mais je ne pouvais pas y faire grand-chose, je n’étais qu’un petit voyageur qui n’avait aucun pouvoir sur ces conquérants. Je n’étais qu’un être oubliable parmi les humains, gène de dragon ou pas. Je remarquais alors que les populations adoptèrent la langue des Anglais pour communiquer. Il n’était pas difficile pour moi de parler une autre langue. Je connaissais déjà la langue des dragons en plus de celle du pays. Apprendre l’anglais n’était qu’une très simple affaire. Malgré ma pauvre apparence, des hommes remarquèrent mon talent pour apprendre une langue. Je fus engagé comme traducteur parmi une grande équipe vers le début du 20ème siècle. J’ai donc dû apprendre l’anglais, et l’allemand, sans réellement comprendre que je participais activement à la Seconde Guerre Mondiale. J’étais devenu un résistant.
« Sabai Dii, chao seu nyang ?* » Je voulais prendre une pause. Je ne voulais plus être en Europe. Certes, il n’y avait plus la guerre. Mais je voulais voir bien autre chose. Dans un pays plus chaud. Je décidais alors d’aller au Laos, voir les paysages presque paradisiaques du pays. Sans le savoir, j’allais apprendre qu’il y avait une colonie de dragons qui s’était installée là. Sans le savoir, j’allais faire une merveilleuse rencontre, me poussant à rester très longtemps. C’était une simple rencontre qui s’était lentement changé en rendez-vous réguliers près de ce point d’eau. Echanger sur les livres, nos aventures, nos problèmes. Je m’inquiétais pour cet ami, car il avait un problème de santé. Mais ce n’était pas sa faiblesse physique qui allait l’arrêter d’imaginer, et d’écrire de nombreux récits. L’écouter était passionnant. Je ne voulais pas qu’il arrête. Je me permettais alors de le secouer pour qu’il n’abandonne pas son plaisir. J’avais dû partir. J’avais essayé de calmer la deuxième guerre d’Indochine. Mais les tensions s’étaient amplifiées, si bien que ma tête fut mise à prix… Je quittais le pays, mon départ fut précipité. Je me promis de ne jamais l’oublier. Car il était mon premier ami. Qui il l’est toujours pour moi, même si nous ne nous sommes pas vus depuis mon départ... Comme une promesse, je lui laissais ma chevalière, simplement en or avec la première lettre de mon prénom gravée dessus. C’était ma promesse de nous retrouver un jour.
« Je vous dépose ma candidature. » Quelle ironie. J’avais aidé les anglais et les français à vaincre les Allemands. Je finis tous de même par poser mon pied dans ce dernier pays. La vie y est bien plus calme. Je m’y installe alors. Peut-être finirai-je ma vie dans ce pays, le temps me donnera la réponse. Je deviens donc professeur d’anglais auprès des jeunes adultes dans diverses universités, après avoir enseigné auprès des plus jeunes par le passé. Je ne m’étais pas changé en dragon depuis très, très longtemps, par crainte de me faire exécuter par un chasseur de dragons. Zortigo m’en avait bien averti. Ils existent depuis la naissance des dragons. Aujourd’hui, je n’ai donc plus besoin de me cacher. Je décidais de visiter l’Allemagne plus précisément quelques jours après avoir su qu’une colonie de dragons se cachait au Château. Qui sait, peut-être je retrouverai cet ami, perdu de vue il y avait si longtemps ? Ce précieux ami, nommé Daiki NAKAMURA.
C’est avec un sentiment de nostalgie que je dépose une candidature à la brigade. Si j’avais autrefois été utile à la victoire de la Seconde Guerre Mondiale, je peux bien être utile pour la bonne entente entre humains et dragons, n’est-ce pas ?
* « Bonjour, comment t’appelles-tu ? » en laotien.
Pouvoirs
Pouvoir élémentaire : Glace Jui peut transformer l’humidité présente dans l’environnement en forme gelée, c’est la Condensation. Il peut créer des pics tranchants, épées en glace, grêlons, murs de glaces épais. Il lui est cependant impossible à réaliser le processus inverse, c’est-à-dire la sublimation (= passage de l’état solide de l’eau à gazeux). Il n’y a pas de passage à l’état liquide. Même si Jui n’est pas particulière faible, il peut souffrir d’hypothermie si le pouvoir est utilisé de manière trop intensive sur un temps trop prolongé.
Pouvoir personnel : Illusion Jui a la capacité de créer des formes plus ou moins complexes en fonction de son imagination. Ses créations éphémères ne peuvent dépasser une hauteur de deux mètres, en créer maximum trois grandes créatures ou une vingtaine de petites, et elles sont maintenues en moyenne pendant un quart d’heure. Elles peuvent bouger, mais elles sont muettes, et elles ne sont pas solides, c’est-à-dire qu’on ne peut les toucher, nos mains passeraient à travers, comme si la créature était faite de fumée. La concentration est essentiel pour donner à chaque créature un semblant de comportements individuels. Jui a besoin de se reposer après une utilisation intensive, au risque de provoquer des migraines récalcitrantes par la suite.
Nom: LOSCHER.
Prénom: Jui.
Âge: 353 en 2023 (né en 1670).
Nationalité: Équatorien.
Groupe: Brigade.
Emploi: Traducteur à la brigade + Enseignant Option Anglais à l’Université.
Pronoms: Il.
Sexualité: Pansexuel.
Espèce: Amphiptère.
Élément: Glace.
Avatar humain: Trafalgar D. Water Law de One Piece.
Avatar dragon: OC Inspiré d'une image sur Google.
Pseudonyme: RoBeeeey !!! (Ou SuperStupidoShade, au choix). Âge: Majeur d'après la loi, mineur d'après la sécu des bars.... Pronoms: Il siouplé. Comment as-tu trouvé le forum: Recherche avec Tiakren en 2021 <3 + mon premier compte est le machin à la tête de p’louse~ Remarques: JE VOUS AIME TOUJOURS PUREE !
_________________
Voyage
Déplacement dans l'espace, effectué vers un point dans un but personnel, pro ou autre, déplacements motivés par des activités sportives, socio-culturelles ou de grands événements, avec ou sans retour. .•°¤ Mags.
Je ne m'étais pas trompé... Tu es bien en Allemagne, @Daiki Nakamura, c'est un immense plaisir de te retrouver ! ^^ J'espère que tu ne m'en veux pas de mon retard. Je tiens tout de même à noter que j'ai bien tenu ma promesse !
Enchanté de faire ta connaissance, @Jun Kyung ! Mais... Qu'est-ce que c'est que cette histoire de "Crush" ?.. (Je sens que l'explication va être farfelue)
Occupation : Traducteur à la Brigade / Prof d'Anglais à L'université
09.07.23 19:56
Jun Kyung
Enchanté ! A une lettre près. Tu dois être un gars bien ! Concernant tonton, il m'a raconté vos aventures tumultueuses d'autres fois. Avec ses mots.. mais j'ai compris entre les lignes !
Bienvenue à la brigade et à l'université, M. Loscher. On espère sincèrement que côtoyer nos élèves et Ary ne vous fera pas tomber en dépression...
Mes félicitations, ta fiche de présentation est validée et tu peux désormais jouer avec ton personnage comme bon te semble.
… Enfin, ce serait tout de même mieux si tu passais recenser ton personnage avant. D’ailleurs, tu as déjà un partenaire pour RP ? Parce que si ce n’est pas le cas, tu peux en chercher un. Et puis, tu peux aussi proposer un prédéfinis ou un pré-lien, si tu veux voir un personnage de ton histoire prendre vie. Après, si rien ne te vient en tête, ce n’est pas grave, tu peux aussi simplement t’occuper de ta fiche de lien et de tes réseaux sociaux, enfin, si tu as un smartphone.
Pseudo
Carmelina
![LOSCHER, de la brigade. Enchanté. [100%] Jun-ca10](https://i.servimg.com/u/f62/13/23/07/03/jun-ca10.jpg)
![LOSCHER, de la brigade. Enchanté. [100%] Jun-ca12](https://i.servimg.com/u/f62/13/23/07/03/jun-ca12.jpg)
![LOSCHER, de la brigade. Enchanté. [100%] Ava_1010](https://i.servimg.com/u/f62/13/23/07/03/ava_1010.jpg)
Tu dois être un gars bien !
