Allemagne, 2024. La Lindwurm Universität, une académie nouvellement inaugurée, ouvre ses portes à des étudiants hors du commun. Si vous y trouverez des humains tout à fait normaux, vous y apercevrez également des... dragons. en savoir plus
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Ce qui caractérise principalement Karsten c’est sa culture générale. A peine âgée de deux siècles, elle a été témoin d’évènements aussi bien positifs que dramatiques. Pour elle, la haine est le résultat du manque de culture et d’éducation. C’est pourquoi elle considère l’école comme une institution qui doit apprendre aux élèves à être curieux de tout, à lire et s’ouvrir au monde.
Pour elle, il existe deux principaux vecteurs culturels, la littérature et la musique. C’est dans ce dernier domaine qu’elle consacre la plupart de son temps, à travers ses études à l’Université mais également dans la pratique du synthétiseur et d’une boite à rythme. D’un naturel pacifiste, elle préfère discuter en cas de conflit et de frappera qu’en cas d’ultime recours. Un bon conseil, faites la sortir de force si elle s’attarde chez un disquaire, sinon vous êtes là jusqu’à demain. Elle pourrait parler de technique musicale jusqu’à tomber de déshydratation.
Quand elle n’est pas en club, en cours, en pleine composition ou tenir la jambe à un pauvre disquaire, elle est tranquillement entrain de lire. Soit des ouvrages de psychologie sociale pour affiner ses connaissances en dynamique des groupes, soit de la littérature. Le tout sur fond de musique classique, ou romantique pour les puristes, lui rappelant son enfance.
Elle s’intéresse à la politique, bien qu’elle ne s’inscrive dans aucun mouvement et trouvant du bon comme du mauvais dans chaque formation. Pour elle, la musique et l’occupation de l’espace par des rassemblements est la meilleure réponse contre toute politique jugée injuste. S’inscrivant à l’exact opposé du diction favori des politiciens “diviser pour mieux régner”.
Les évènements de 1914 à 1945, la Guerre Froide, septembre 2001 et le nouvel an à Cologne l’ont profondément marquée et il lui arrive d’avoir des flashs de ce qu’elle a vu. La ramenant dans des réminiscences qui la font percevoir l’Homme comme naturellement mauvais. La plongeant dans des périodes mélancoliques qu’elle exorcise à travers de la musique violente qu’elle compose ou écoute. Ces périodes où elle rumine les travers de l’humain la rendent pessimiste sur l’avenir, jusqu’à avoir des passages proches du nihilisme le plus total.
Quand elle va mixer, elle devient plus avenante et plus séductrice. Elle n’hésite pas à jouer avec le public. Son rôle étant de chauffer la salle pour la préparer pour les autres artistes après elle, elle met beaucoup de sérieux et sélectionne ses morceaux avec soin.
Physique
Sous sa forme humaine, Karsten est d’une taille fine et élancée. Si ses jambes sont souvent mises en valeur avec le port du legging ou de jean skinny, le haut l’est beaucoup moins à cause de l’usage immodéré de tee shirt larges et de sweatshirts à l’effigie de groupes ou de festivals.
Ses cheveux blonds sont coupés très courts et souvent en bataille. Ses yeux sont d’un bleu électrique étincelant. Elle se maquille rarement dans la vie de tous les jours. Les quelques fois où elle est inspirée elle va d’un extrème à l’autre. Soit un regard noir charbonneux, soit un mélange de couleurs fluos.
Elle se balade toujours avec un casque audio avec elle, soit sur ses oreilles soit simplement autour du cou. Elle le considère également comme un accessoire au même titre qu’une paire de boucles d’oreilles ou un collier.
Par contre, quand elle va mixer elle camoufle ses cheveux blonds contre une perruque longue et noire comme la nuit. Les paupières sont fardées de couleurs et les vêtements sont davantage près du corps, pour ne pas dire moulants. Elle rajoute à sa tenue un gros manteau jaune poussin, de grandes lunettes aux verres rouges et un casque blanc rouge et bleu.
Taille et poids : 1m70 pour 65kg Carnation : Blanche Cheveux : Blonds Yeux : Bleus Signe(s) distinctif(s) : / Forme relâchée : Des cornes blanches poussent sur son crâne, des ailes blanches à l'intérieur bleu apparaissent dans son dos et une queue blanche vient s'ne mêler aussi. Forme draconique : Splendide dragon tout écaillé de blanc aux yeux bleu très perçants. Ses longues pattes sont munies de griffes acérées. La peau de son ventre tire vers un blanc presque crème et l'intérieur de ses ailes est d'un bleu clair comme le ciel dégagé. Sa queue fini en une pointe bleue comme ses yeux.
Histoire
Karsten Müller voit le jour pendant une nuit orageuse l’année 1822 en plein cœur d’une forêt quelque part au sein de ce qui était l’Empire Allemand. Ces parents, eux même des dragons d’électricité, se faisaient passer pour des apothicaires pour assurer leur couverture et éviter de se faire repérer par de potentiels chasseurs. Ils se permettaient de se balader sous forme relâchée chez eux la nuit tombée et les volets fermés. Les premières années de Karsten furent totalement basiques pour un bébé dragon comme un bébé humain. Ses parents lui firent l’école à la maison et lui apprirent vite à ne pas révéler sa vraie nature. Le tout sans aucun discours de haine envers les humains, ce qui était étonnant pour des dragons de cette époque. Ses parents avaient pour leitmotiv d’affirmer que la haine était la résultante d’un manque de culture. La haine que les humains avaient contre les dragons venaient d’un manque de culture et de sensibilisation sur le sujet, d’après leurs dires. La petite famille profitait toujours de la forêt proche pour aller se balader et révéler leur vraie forme. Une petite vie tranquille se profilait.
Cependant quatre évènements marquèrent sa vie au fer rouge.
Quelque part en Allemagne - Année 1897
Le premier fut l’arrivée du gramophone Kämmer & Reinhardt à fonctionnement manuel vers 1897. Karsten, âgée respectivement de 75 ans en âge dragon et 7 ans ½ en humain, réclamait toujours à mettre de la musique, aussi bien dans la boutique parentale que dans leur petit appartement. Elle grandit ainsi avec la musique romantique, bien qu’elle soit en déclin à l’époque. Ses parents avaient l’habitude de mettre la Berceuse de Brahms pour endormir leur petite, seul moyen de la calmer. D’autres compositeurs la marquèrent comme Wagner sur lequel elle fit ses premiers envols, se prenant ainsi pour une Walkyrie.
En outre, une culture musicale allant du baroque au moderne en passant par le romantique et la classique.
Allemagne/IIIe Reich/RFA – De 1914 à 1949
Le deuxième, moins gai et regroupant plusieurs évènements historiques, fut l’entrée de l’Allemagne dans la Première Guerre Mondiale et tout ce qui en suivit après. La défaite de l’Allemagne dont le sentiment amer fut un terreau fertile à des idées qui firent fureur plus d’une décennie plus tard avec un nouveau gouvernement qui redressa l’économie nationale, mais à quel prix... Du haut de ses onze ans en âge humain, Karsten sentait que son pays natal sombrait dans une haine qui le dévorait de l’intérieur. Et ce qui la chagrinait davantage, c’était de voir des compositeurs dont elle appréciait beaucoup les créations se compromettre avec le mouvement politique en vogue. Son père lui expliqua avec amertume qu’ils n’avaient pas le choix pour continuer leur carrière.
Une nuit, la jeune enfant fut réveillée en catastrophe par sa mère qui lui annonça qu’ils quittaient la ville. Le gouvernement en place avait créé des camps réservés aux enfants à partir de huit ans pour faire d’eux de raves citoyens prêts à mourir pour l’idéologie gouvernementale. Et pour les parents, il était hors de question d’y envoyer leur bout de chou. Après avoir mis le feu à leur habitation en faisant croire à un courcircuits, ils s’envolèrent vers les montagnes Suisses. Elle aida ses parents quand ces derniers adhérèrent dans une sorte de petit groupe secret qui aidait les exilés de guerre à venir se cacher dans le pays. Et ce jusqu’à la fin du conflit où ils revinrent dans leur pays natal pour vivre dans une petite ville de campagne non loin de Cologne, ville qui vivra à l’heure américaine jusqu'en 1949. Ses parents reprendront les traits de pharmaciens sans histoire.
Cet évènement fit remettre en question la vision de l’humain qu’avait Karsten. Entre deux gorgées de Coca Cola, elle se demandait s’il était possible que tout le monde soit aussi peu cultivé pour avoir accepté d’exterminer des gens en raison de leurs croyances et de leur possibles richesses. Même ses parents ne parvenaient à lui donner une réponse claire. Eux aussi étaient marqués par cette sombre période. Bien qu’âgés de plusieurs siècles, ils n’avaient pas le souvenir d’avoir été témoins d'un génocide orchestré par un gouvernement et dont la population était obligée d’adhérer. L’essor de la psychologie sociale leur apportera un début de réponse.
Cologne/RFA - 1951
Le troisième prit place autour des années cinquante. Après un énième aller-retour à la bibliothèque de Cologne, la jeune dragonne qui se baladait sous les traits d’une adolescente de presque treize ans entendit un drôle de son s’échappant d’un poste de radio importé par les Américains. Intriguée, elle demanda au vendeur si la radio était cassée ou si ce son était normal. Il lui expliqua qu’il s’agissait d’une rediffusion d’une émission passée la nuit même, et qu’apparemment, un compositeur appelé Herbert Eimert expliquait la création du studio de musique électronique de la radio de Cologne ainsi que sa vision de la musique électro acoustique. Une nouvelle manière de concevoir le son sans passer par la case conservatoire.
Créer de la musique sans payer des mille et des cents dans des cours de solfège ennuyeux avec une prof dont la voix criante n’était pas sans lui rappeler l’ancien chef d’Etat ? Cette idée travailla beaucoup la jeune fille au point de monopoliser la discussion le soir même pendant le dîner. Une des rares fois où l’attention n’était pas tournée vers le présentateur du journal télévisé en noir et blanc qui débitait les nouvelles de la RFA et combien le Plan Marshall était une aubaine. C’était tout juste s’il ne se mettait pas à crier “Vive les USA!” en guise de clôture du bulletin. Sa mère était enchantée de la voir avec des projets d’avenir, mais lui rappela qu’elle ne serait considérée comme majeure qu’à partir de 2002. S’en était suivi le plus long et le plus fort soupir qu’elle n’eut jamais eu, se plaignant que c’était “trop long”. Dans son immense sagesse, son père lui expliqua que ça lui donnait tout le temps d’observer le progrès faire son chemin et de l’observer pour être prête le moment venu.
Les décennies qui suivront ne feront que cristalliser son désir de faire un métier gravitant autour de la musique. Des décennies ponctuées de voyages autour du bloc occidental, entre deux cours par correspondance, et par l’essor de nouveaux styles qui ressembleront les foules. La célèbre Beattlemania, les festivals de musique hippie dont le leitmotiv sera l’amour du prochain et l’opposition totale à la guette de Vietnam, la musique punk dans la même veine mais dans un style moins pacifiste et davantage “t’va voir ta gueule à la récré” et l’explosion de la musique électronique. Sans doute la période den la vie de Karsten où la phrase qu’elle entendra le plus souvent sera “baisse la musique!!!!” et autres “Même les Soviétiques ont dû entendre ce que t’écoutes”. Ce fut d’ailleurs dans cette période-là qu’elle se créera la phrase qui deviendra sa maxime, “La musique traverse toujours les murs”. Passant ainsi du punk à la new wave via un détour par le surf rock bien flower power. L'essor des Raves à la fin des années quatre-vingt en Allemagne la conforta dans son choix en même temps qu’elle découvrir de nouveaux sons plus industriels et sombres. Cette idée de rassembler les foules sans aucune distinction de race, d’orientation sexuelle, d’idées politiques ou d’échelle sociale était en accord avec les valeurs transmises par ses parents. Ces derniers, toujours ouverts à la nouveauté, ne se privaient pas pour aller y faire un tour avec d’autres dragons et leurs enfants respectifs. Ce fut un soir où sa famille et leurs amis faisaient une petite soirée dansante sur fond de techno en vogue qu’ils apprirent que le célèbre mur était en train de tomber. La jeune dragonne gardera en tête la vidéo de cet homme entrain de frapper le mur avec sa pioche, et la musique qui semblait battre le rythme de ses coups. Chaque été, cette petite troupe d’intellectuels mélomanes volait vers les festivals et toutes les manifestations musicales de la scène techno. La Love Parade de Berlin étant un incontournable pour eux. Ce qui confortait Karsten dans ses choix de carrière. Rassembler et dénoncer. La puissance de la techno mêlée à des paroles criant les vérités qui dérangent.
Pour fêter sa majorité, ses parents économisèrent pour lui offrir son premier synthétiseur. Ses connaissances en solfège qu’elle avait conservé et travaillé allaient finalement lui servir pour créer ses premiers morceaux. En guise d’entrainement, elle s’amusait à rejouer les nappes de synthé du claviériste de Rammstein puis elle les trafiquait. Elle voyait ainsi le champ de possibles mais aussi les limites de sa machine. Sa chambre débordait de fanzines sur la scène techno, mais aussi sur une scène plus sombre, le power electronics. Ce dernier genre hurlait sans faire de ronds de jambes les pires horreurs de l’humain. Et la jeune dragonne reconnaissait là ce qu’elle avait vu entre 1914 et 1945. Elle était quasiment persuadée que des membres étaient des dragons pour retranscrire avec une horreur parfaite les évènements tragiques. Ce style étant réservé à une niche, elle préféra surtout se concentrer sur une techno bien berlinoise qui serait susceptible de la faire connaitre. Mais elle gardait ses textes les plus corrosifs de côté.
Cologne – 31 décembre 2015
Un quatrième évènement, qui aurait pu être dramatique pour la jeune fille, la marqua. 31 décembre 2015, à Cologne... La jeune fille faisait la fête dans la rue avec ses parents et leurs amis. Elle s’était un peu éloignée avec ses amis pour aller chercher quelques bières quand ils furent pris à partie dans une rue par des hommes fortement alcoolisés et parlant un dialecte qui ressemblait à ce qu’elle avait entendu lors d’un périple dans le Nord de l’Afrique. Voulant se défendre des mains baladeuses suintant de concupiscence, Karsten fit naitre ce qui ressemblait un champ d’énergie qui fit valdinguer les armes blanches des agresseurs. Certains virent leur arme être retournée contre eux, d’autres la virent voler plusieurs mètres plus loin. Ses ailes se déployèrent et ses cornes percèrent sa chevelure. Ce fut un festival d’éclairs, de flammes, d’eau bouillante et de glace. Les agresseurs croyant à de la sorcellerie prirent la fuite. Les jeunes dragons prirent également la fuite en s’envolant dans la nuit jusqu’à l’extérieur de la ville où ils purent prévenir leurs parents. Craignant pour leur survie, Karsten et sa famille déménagèrent un nouveau pour s’installer en Bavière, toujours en tant que pharmaciens sans histoire. Non sans avoir ouvertement participé à l’appel à témoin suivant ces évènements.
Ils se rapprochèrent de la colonie présente et purent reprendre une vie toute simple. Karsten continua se s’exercer à la musique tout en lisant les ouvrages de médecine de ses parents. L’aidant ainsi à mieux comprendre le cerveau et la psychologie des humains.
Les évènements de l’été 2022 les plongèrent dans l’incompréhension et la peur. Après des siècles à se cacher, voilà que l’existence de leur espèce était dévoilée au grand jour. Père et mère hésitaient à s’enfuir à nouveau, mais la suite les rassura suffisamment pour qu’ils restent non sans baisser leur garde. Un représentant de leur espèce était en pleine négociation pour les intégrer officiellement et condamner toutes expériences douteuses sur eux. Karsten salua ce pas de géant, mais ses parents lui dirent de rester toujours sur ses gardes malgré l’acceptation des humains.
Dès qu’elle eut l’occasion, elle demanda à suivre des cours à l’Université pour commencer un parcours plus officiel. Elle suivrait des cours de psychologie et de musicologie en semaine, et le soir, elle irait mixer dans une petite boite de nuit après avoir été repérée par le gérant qui a découvert les playlists et autres mix d’une heure qu’elle mettait sur sa chaine nommée “Herrin Von Hertz” qu’elle prend comme nom de scène. Pour l’instant elle ne fait que des sets de même pas une heure en guise de tour de chauffe avant de laisser la place à des DJ installés depuis plus longtemps et suffisamment doués pour faire des sets de deux heures.
Et si les choses évoluaient ?
Pouvoirs
Pouvoir élémentaire : Electricité: Elle est capable de cracher des éclairs. Son pouvoir gagne une légère puissance par temps pluvieux et orageux. Quand elle replie ses ailes devant elle, elle est capable d’envoyer des arcs électriques en les déployant d’un coup.
Champ magnétique : Elle est capable de créer un champ magnétique d’un rayon d'un mètre autour d’elle, lui donnant l’opportunité de déplacer les objets métalliques présents dans ce champ par éléctromagnétisme. Ce dernier pouvoir n’est pas encore totalement maitrisé, attention à ne pas vous approcher quand elle s’exerce.
Lévitation : Sous sa forme relâchée, Karsten est capable de léviter via son champ magnétique. Tout comme le pouvoir décrit ci-dessus, celui-ci n’est pas encore totalement maitrisé et elle ne compte plus les fois où elle a fini dans le décor.
Système nerveux : Un pouvoir qu’elle se jure d’utiliser qu’en cas d’ultime recours. Le corps humain étant composé d’un système nerveux alimenté par signal électrochimique via un système de polarisation/dépolarisation. Sa maitrise de l’électricité lui donne la possibilité de faire bien des dégâts temporaires dans la boite crânienne d’un potentiel adversaire, comme par exemple un dysfonctionnement neuronal pouvant entrainer de la surdité, la perte partielle ou totale de la vue, hallucinations visuelles ou auditives, paralysie etc... Un pouvoir hautement dangereux qu’elle s’est jurée d’utiliser uniquement si son intégrité physique ou mentale est mise en danger.
Pouvoir polymorphique : Minime
Pouvoir personnel : /
Nom: Müller
Prénom: Karsten
Âge: 200 ans dragon /20 ans humain
Nationalité: Allemande
Groupe: Etudiants
Emploi: Etudiante en semaine/ DJ le samedi soir
Spécialisation(s): Musicologie et Psychologie
Pronoms: Elle
Sexualité: Pan
Espèce: Dragon européen
Élément: Electricité
Avatar humain: Inezia - Pokemon
Avatar dragon: Dragon blanc aux yeux bleus – Yu Gi Oh
Pseudonyme: Astarid Âge: 29 ans Pronoms: Elle Comment as-tu trouvé le forum: Forum partenaire Remarques: Bah...Vive les dragons =3
Un dragon blanc aux yeux bleus ! C'était une de mes cartes de Yu Gi Oh préférée quand je regardais ! (on a un dragon noir aux yeux rouges ici !)
J'avoue j'ai lu le caractère et le physique, mais pas encore l'histoire ^^' Mais je l'aurais lu demain !
Elle a l'air d'être très passionnée ! Par la musique ! En même temps, la musique c'est tellement bien (J'ai un perso qui chante en tant que professionnel ! Lukas Meyer)
Encore bienvenue ! N'hésite pas à venir sur le discord ou à passer sur la chatbox ^^
Invité
Invité
27.02.23 19:56
Karsten Müller
Coucou =3
J'ai mis un temps monstre à trouver le dragon parfait, puis finalement il y avait que celui là qui allait x)
Ca faisait si longtemps que je n'avais pas joué de perso musicien aussi ;) Et comme l'Allemagne est connue pour sa scène techno, je me disais que Karsten aurait sa place ici :P
_________________
Herrin Von Hertz
L'art ne reproduit pas le visible, il rend visible. - Paul Klee
Très jolie petite fiche, j’ai beaucoup apprécié voir son évolution en même temps que celle de la musique, on sent bien que ça fait partie intégrante de sa vie !
Deux petits détails avant de pouvoir te valider :
1. Le véritable nom d’un dragon doit être secret (je ne le mets pas ici pour éviter de devoir éditer plus tard, mais c’est la première phrase de ton histoire) et ne doit pas apparaître sur la fiche de présentation. Il est à inscrire dans le champ "vrai nom" sur le profil qui est seulement visible pour toi et le staff. Ce n’est pas très grave si d’autres membres l’ont vu, cela dit :)
2. "Sous sa forme humain, Karsten est capable de léviter via son champ magnétique." Ce n’est pas possible pour un dragon d’utiliser ses pouvoirs sous forme humaine. Quand il essaye, il passe automatiquement sous forme relâchée / semi-humaine, même si ce n'est pas ce qu'il souhaite (ça permet de peser le pour et le contre quant à l'utilisation de pouvoir devant les humains, surtout si c'est encore un secret pour le dragon). Du coup, elle peut quand même léviter sous forme semi-humaine / relâchée ! Et c’est complètement un oubli de ma part en réécrivant les annexes pour le coup. J’ai vérifié et ce petit détail s’était éclipsé. Navrée (et merci, au moins ça m'a permis de corriger) ^^'
En somme, rien de bien long à modifier, ça y est presque ! :c7:
Bienvenue à la Lindwurm Universität, miss Müller. On compte sur vous pour ne pas trop perturber le bon fonctionnement des ordinateurs et appareils divers éparpillés sur le campus. Comprenez, entre un site internet en panne et la fibre qui passe assez mal dans le coin, notre cher informaticien a déjà beaucoup de travail...
Mes félicitations, ta fiche de présentation est validée et tu peux désormais jouer avec ton personnage comme bon te semble.
… Enfin, ce serait tout de même mieux si tu passais recenser ton personnage avant. D’ailleurs, tu as déjà un partenaire pour RP ? Parce que si ce n’est pas le cas, tu peux en chercher un. Et puis, tu peux aussi proposer un prédéfinis ou un pré-lien, si tu veux voir un personnage de ton histoire prendre vie. Après, si rien ne te vient en tête, ce n’est pas grave, tu peux aussi simplement t’occuper de ta fiche de lien et de tes réseaux sociaux, enfin, si tu as un smartphone.